Thomas Lebrun ne lit pas Marguerite Duras : il l’écoute dans des archives radiophoniques, comme une musique inspirante.
Frédéric Iovino
Sans la rencontrer, l’autrice est devenue une confidente intime avec qui le chorégraphe se sent en accord : « L’émotion que me procure sa voix et le sens de ses discours est semblable à celle que je ressens quand je suis au plateau. L’Envahissement de l’être... que l’on ressent lorsqu’on écrit, lorsqu’on transmet, lorsqu’on danse et qui plus est... lorsqu’on oublie que l’on danse... » Et c’est ainsi qu’il eût envie de danser seul avec Duras.
Sans la rencontrer, l’autrice est devenue une confidente intime avec qui le chorégraphe se sent en accord : « L’émotion que me procure sa voix et le sens de ses discours est semblable à celle que je ressens quand je suis au plateau. L’Envahissement de l’être... que l’on ressent lorsqu’on écrit, lorsqu’on transmet, lorsqu’on danse et qui plus est... lorsqu’on oublie que l’on danse... » Et c’est ainsi qu’il eût envie de danser seul avec Duras.