Avec Lex, Sylvain Huc achève sa recherche autour de la figure fondatrice du solo et des motifs ambigus de la loi et de la transgression.
Avec Lex, Sylvain Huc achève sa recherche autour de la figure fondatrice du solo et des motifs ambigus de la loi et de la transgression.
Au regard d’un corps qui joue avec ses propres limites, la loi, son inviolabilité et sa pureté apparaissent comme les conditions nécessaires à leur dépassement. Rassemblant en un corps et sa seule présence les paradoxes de l’attachement et du détachement, Lex interroge autant la servilité que le désœuvrement, entre l’obsession de se plier à son désir et celle de renoncer à sa liberté de le réaliser. Le corps, sa loi et sa danse y sont faits d’une plasticité physique qui s’affirme tout à la fois impérative et libératoire mais toujours insaisissable.
Une coproduction Le Gymnase | CDCN
Etirements du spectateur - Autour de Lex Sarah Kruszka vous propose un temps de pratique le lendemain des spectacles pensé pour prolonger la représentation.