À la frontière du théâtre, de la danse et des arts visuels, le travail de Nathalie Béasse est transversal.
Christophe Raynaud de Lage
Le spectacle commence par une accalmie, comme s’il y avait eu un tourbillon et puis tout s’était calmé, comme si un long chemin avait été parcouru et que les uns et les autres se retrouvaient rassemblés autour d’une table pour lire des lettres.
Tous les éléments du plateau ont le même niveau d’importance : corps, espace, accessoires, lumière, musique, costumes, textes, public... La pièce est un travail sur la perception de ce qui nous entoure : espace, couleur, matière, son, corps. Le corps y exprime ce qu’il est parfois impossible d’exprimer par les mots.