Pour cette pièce, la joie est posée comme un postulat. La joie comme force de résistance et potentiel de création. Chanter copieusement, rire en polyphonie, danser à l’aveugle, papoter en cacophonie.
Bruno Simao
Dans le cadre du festival Le Grand Bain du Gymnase | CDCN
Pour cette pièce, la joie est posée comme un postulat. La joie comme force de résistance et potentiel de création. Chanter copieusement, rire en polyphonie, danser à l’aveugle, papoter en cacophonie.
Des corps désobéissants et irrationnels sont mis en avant. Quatre figures féminines apparaissent tels des êtres mythologiques, en perpétuelle métamorphose, malgré les fortes contraintes que leur impose l’espace de jeu. Un étrange ballet naît de ces composantes contradictoires, où se mêlent l’imaginaire médiéval, les chansons triviales et les tableaux grotesques.
Dans la continuité de ses créations antérieures Peuplements, Gesächtet Tutuguri, Flora Détraz poursuit sa recherche sur la relation entre la voix et le mouvement. Les interprètes sont autant danseuses que musiciennes et abordent la danse dans un rapport inextricable avec la musique.
"La joie est l’augmentation de notre puissance d’exister"
Spinoza, L’Éthique
Spectacle accueilli avec le soutien de l'Onda - Office national de diffusion artistique
1h environ