Si en peinture ou en photographie le portrait capture une image pour la figer à travers le temps, la démarche initiée par Rebecca Journo révèle un corps à même d’entrer dans une succession de postures
Maxime Leblanc
Ici, les quatre danseuses glissent de variations en métamorphoses, dans un feuilletage d’images qui se forment, disparaissent et changent au gré de la danse. Se compose sous nos yeux un jeu de figures qui reflètent la multiplicité d’être.
Ici, les quatre danseuses glissent de variations en métamorphoses, dans un feuilletage d’images qui se forment, disparaissent et changent au gré de la danse. Se compose sous nos yeux un jeu de figures qui reflètent la multiplicité d’être.